Triste constat
Extrait de “Habibi” de Craig Thompson, Edition Casterman, 2012
Extrait de “Habibi” de Craig Thompson, Edition Casterman, 2012
Seuls ceux qui sont suffisamment fous pour penser qu’ils peuvent changer le monde y arrivent.
Steve Jobs
Extrait de Economix, de Michael Goodwin et Dan E. Burr, Editions Les Arènes, 2013
L’histoire économique vulgarisée dans un média facilement abordable! Un joli travail, qui permet une révision loin des doctrines officielles et académiques. Une approche à mettre entre toutes les mains, qui, avec un parti pris quant aux faits mis en évidence, reste objectif et donne une vision claire de comment on en est arrivé à la gestion actuelle du monde.
Je couche le dernier, puis la deuxième et enfin le premier.
La deuxième ne veut pas dormir, le dernier se réveille, le premier vient voir ce qu’il se passe.
Le dernier pleure et empêche la deuxième de s’endormir, le premier vient voir se qu’il se passe.
Le premier et la deuxième sont cois, le dernier s’endort.
Tous se sont endormis.
Ah non, pas la deuxième… qui reveille le dernier…
Alors là, ça y est ?
Ouf…
… Jusqu’à demain…
Extrait de “Bleach”, tome 54, de Tite Kubo, Edition Glénat, 2013
S’agissant d’un manga, celui-ci se lit de droite à gauche.
Petite phrase, libre, sans contexte, toujours tu seras, sans conteste, interprétée par chaque lecteur, sans complexe, de sa manière propre, sans converse.
Dans un supermarché, je saisis cette bouteille de Sangria Don Simon, audacieux symbole vacancier!
Puis de retour dans la maison, brandissant mon trophée avec des allégories sur son appartenance emblématique, ma femme, réaliste, me rappelle que nous sommes en Italie…
Faut-il, pour arrêter de fumer, se retrouver face à sa propre mort et craindre son regard ?
En général, un organigramme se présente de manière décionnelle et de responsabilité légale, plus on est placé en haut, plus notre pouvoir de décision est grand.
On pourrait imaginer une représentation exactement à l’inverse en terme de responsabilité humaine, ainsi apparaîtrait le poids de la structure que les managers ont à porter.
Une autre image que celle du tertre, dont le sommet principalement se réjouit du beau temps. Une pyramide inversée, soutenue par de nombreux piliers ancrés dans la terre, avec une large base en plein ciel.
Ainsi, plutôt qu’une vision d’énergie tirée de la terre, on pourrait y voir que c’est le ciel qui nourrit le système. N’est-ce pas le cas? N’est-ce pas la présence de l’atmosphère qui a permis à la vie de se développer et qui différencie notre planète des autres connues? Alors pourquoi un système ne serait-il pas en entonnoir? Plus de soleil pour la majorité, des responsabilités mises en évidence pour ceux qui soutiennent le tout, les rendant ainsi conscients de leur rôle. Responsabilités que l’on ne peut plus cacher lorsque le pilier a des faiblesses, tant le poids au-dessus fait pression. Du coup, on pourrait aussi y mettre plus de piliers, se renforçant les uns les autres, plutôt que de réserver quelques places au soleil, nécessitant de se battre pour les atteindre, tant on peut y associer des notions de privilèges au lieu de celles de responsabilités face à ses collaborateurs. Une vision sur pilotis!