Acceptation
Sans pardon il n’y a pas d’amour possible.
Sans pardon il n’y a pas d’amour possible.
Les masques tombent quand on nous ordonne de les mettre.
Si tu me prends par la main
Je ne te demanderai rien
Ni qui tu es
Ni d’où tu viens
On n’a jamais trop à faire
D’un peu de partage
Sur le chemin pavé de l’enfer
Qui nous emmène au large
Parfois, j’ai la triste impression en discutant avec des gens, que les mots que nous utilisons ne signifie pas la même chose dans chaque esprit.
Je comprends bien le besoin du cerveau humain de combler un vide par une adaptation, une approximation personnelle. Cela semble assez naturel. Ce que je trouve plus problématique, ce sont les interlocuteurs qui restent figés sur une fausse interprétation, sans se donner la peine de comprendre qu’ils peuvent la corriger, la faire évoluer et ainsi faciliter le discours d’une part, mais surtout leur propre conception du monde d’autre part.
C’est un peu comme si, bien que les mots soient les mêmes, les concepts associés derrière étaient si différents, qu’il n’est plus possible de communiquer.
Si un jour j’écris un livre, je l’intitulerai “la violence des cons”.
Élément essentiel pour l’évolution. Il est seulement possible d’imaginer sur des bases qui ont déjà existé, un amalgame de fragments, des choses possibles, déjà faîtes, vécues, vues, rêvées, souhaitées, … réorganisées dans un nouvel ordre toujours et encore.
Quid de la créativité, de l’innovation? C’est dans l’assemblage qu’elles se réalisent!
Si on nous donnait à tous la liberté, nous serions égaux mais ne serions jamais frères. Si on nous donnait l’égalité, nous serions frères mais jamais libres. Mais si nous commencions par être frères, nous n’aurions que faire d’être libres, nous n’aurions que faire d’être égaux.
La différence a la beauté de l’inconnu. Elle nous fascine au point de nous y perdre ou nous effraie au point de vouloir la détruire.
Plus tôt nous saurons, plus tard nous serons.
La paresse ne tue rien, sinon l’ambition. En cela, elle n’est dangereuse que pour son porteur. C’est pour cette raison que je la préférerai toujours à l’orgueil ou l’envie.