Merci
Si tu me prends par la main
Je ne te demanderai rien
Ni qui tu es
Ni d’où tu viens
On n’a jamais trop à faire
D’un peu de partage
Sur le chemin pavé de l’enfer
Qui nous emmène au large
Si tu me prends par la main
Je ne te demanderai rien
Ni qui tu es
Ni d’où tu viens
On n’a jamais trop à faire
D’un peu de partage
Sur le chemin pavé de l’enfer
Qui nous emmène au large
Oublier d’où nous venons ne nous aide pas à savoir où nous allons. Et si nous savions où nous allons, il est probable que nous retournerions d’où nous venons.
On s’espère d’égalité entre genres à ce jour et pourtant les robots sont genrés.
On ne parle pas à un robot comme à une personne. Probablement qu’on lui ordonne, plus que l’on lui parle.
Et si une personne ordonne, elle attend une réponse rapide, et pourrait se fâcher si celle-ci tarde, ceci en entraînant cela, elle pourrait être tentée de prendre l’ascendant sur la machine, tout en la percevant au travers de ses caractéristiques vocales humaines.
Et celles et ceux qui vivent avec un.e assitant.e personel.le dans leur maison, que développent-ils inconsciemment de cette relation ? Et leurs enfants ?
L’interfaçage homme-machine devrait peut-être se situer dans un autre registre, et pourquoi pas dans celui qui lui est dévolu, ce langage existe déjà sous bien des formes.. littéraires.
L’avenir est un art peu pratiqué et voué à disparaître.
Seuls ceux qui sont suffisamment fous pour penser qu’ils peuvent changer le monde y arrivent.
Steve Jobs