Doux viainge
Oublier d’où nous venons ne nous aide pas à savoir où nous allons. Et si nous savions où nous allons, il est probable que nous retournerions d’où nous venons.
Oublier d’où nous venons ne nous aide pas à savoir où nous allons. Et si nous savions où nous allons, il est probable que nous retournerions d’où nous venons.
On s’espère d’égalité entre genres à ce jour et pourtant les robots sont genrés.
On ne parle pas à un robot comme à une personne. Probablement qu’on lui ordonne, plus que l’on lui parle.
Et si une personne ordonne, elle attend une réponse rapide, et pourrait se fâcher si celle-ci tarde, ceci en entraînant cela, elle pourrait être tentée de prendre l’ascendant sur la machine, tout en la percevant au travers de ses caractéristiques vocales humaines.
Et celles et ceux qui vivent avec un.e assitant.e personel.le dans leur maison, que développent-ils inconsciemment de cette relation ? Et leurs enfants ?
L’interfaçage homme-machine devrait peut-être se situer dans un autre registre, et pourquoi pas dans celui qui lui est dévolu, ce langage existe déjà sous bien des formes.. littéraires.
L’avenir est un art peu pratiqué et voué à disparaître.
Seuls ceux qui sont suffisamment fous pour penser qu’ils peuvent changer le monde y arrivent.
Steve Jobs
Extrait de « Prométhée », Tome 7 de Christophe Bec et Stéphano Raffaele, Editions Soleil, 2013
Et après un petit tour sur Internet, il apparait que cette étude a bien eu lieu et que son résultat ait été répandu, bien que largement contesté par les scientifiques.
Ce qui nous donne quand même un brin d’optimisme pour l’avenir… Enfin, allez savoir, peut-être que l’homme et son gros cerveau ou pour cause de perte de l’instinct sauvage devra atteindre un seuil tellement haut que ça ne va rien changer… à vue humaine…