À propos de Un promeneur

J'aime me balader au gré des médias, à travers fictions et réalités, regarder ces spectacles magnifiques ou navrants, toujours tellement humains. Et pourquoi pas en sortir de temps à autre un morceau choisi, hors de son contexte, preuve de l'universalité de toutes choses ?

Quatrième secteur ?

Comme chacun le sait, le secteur primaire regroupe les activités de production de biens directement tirés des ressources naturelles, le secteur secondaire, celles qui transforment ces biens et le secteur tertiaire, celui des services.

Les activités financières, qui génèrent de l’argent à partir de lui-même, ne devraient-elles pas appartenir à un quatrième secteur?

2017-06-19T20:41:46+01:00Par |Economie|0 commentaire

Page blanche

Sur une page blanche, on peut dessiner ce que l’on veut.

On peut même se permettre de déborder, au risque que ces traits n’appartiennent plus à l’oeuvre.

Mais si l’oeuvre nécessite ces traits, alors le support de la page en fera partie.

2017-06-19T20:39:49+01:00Par |Organisation, Philosophie|0 commentaire

Entraves

Et notre liberté est entravée… D’abord par le temps et l’espace, ensuite par le respect pour la liberté de ceux qui nous entourent.

 

Pourtant dans notre imagination, au sein de notre créativité, là pourrait être la liberté… mais nous voici encore prisonnier de nous-même, de notre passé ou de celui de notre famille, conscients ou inconscients.

Ces barreaux là se brisent, cela ne dépend que de nous.

2017-06-19T20:22:20+01:00Par |Philosophie|0 commentaire

Pourquoi ?

Pourquoi, alors qu’il est avéré que les cigarettes nous détruisent, peut-on encore en trouver sur le marché?

Pourquoi accepte-t-on qu’en plus du tabac, qui n’est pas tout à fait innofensif, les fabricants puissent « améliorer » le produit sans égard pour ses consommateurs?

Pourquoi en consomme-t-on encore?

2017-06-18T21:06:11+01:00Par |Cigarette, Pourquoi ?|0 commentaire

Chair à canon

La plus belle notion d’économie est sans doute celle de stakeholders (ou des parties prenantes en français), qui prend en compte tous les acteurs d’un système et soutient que c’est avec la participation de tous que le système peut être optimisé. En contre-partie, elle engage le système a prendre soin de chacun d’entre.

Evidemment, cela induit nécessairement une redistribution des richesses du système de ces actionnaires (les shareholders) vers les autres parties prenantes, voir principalement vers ses employés qui en général sont les moins investis, l’objectif d’une entreprise étant de générer de l’argent.

Toute la tristesse de la chose réside dans le simple fait que malgré le nombre, seul le pouvoir a force de décision. Et malheureusement, celui-ci ne semble pas comprendre vraiment ce qu’il a à y gagner, puisque ce n’est ni plus d’argent, ni plus de pouvoir. Dommage pour l’humanité.

 

C’était une petite pensée pour tous ceux à qui l’on fait comprendre qu’ils devraient être bien heureux de pouvoir travailler et toucher un salaire.

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