On s’espère d’égalité entre genres à ce jour et pourtant les robots sont genrés.

On ne parle pas à un robot comme à une personne. Probablement qu’on lui ordonne, plus que l’on lui parle.

Et si une personne ordonne, elle attend une réponse rapide, et pourrait se fâcher si celle-ci tarde, ceci en entraînant cela, elle pourrait être tentée de prendre l’ascendant sur la machine, tout en la percevant au travers de ses caractéristiques vocales humaines.

Et celles et ceux qui vivent avec un.e assitant.e personel.le dans leur maison, que développent-ils inconsciemment de cette relation ? Et leurs enfants ?

L’interfaçage homme-machine devrait peut-être se situer dans un autre registre, et pourquoi pas dans celui qui lui est dévolu, ce langage existe déjà sous bien des formes.. littéraires.