Brusque retour au monde soit-disant civilisé

Aaaah les vacances !!! On met bien une bonne semaine à se débarrasser complètement du poids de nos habitudes avant de se sentir léger, curieux, de retrouver le goût des choses simples et les vertus d’un sommeil suffisant et réparateur et de se laisser glisser lentement vers la vie lente.

Mais qu’il est triste de constater qu’à peine 10 minutes suffisent, au retour, à nous réintégrer brutalement dans notre quotidien stressé, avide, égoïste et paranoïaque.

Dire que l’on a tant à apprendre de sociétés soit-disant sous-développées et que pourtant on s’évertue à vouloir les caler sur notre modèle.

2017-07-26T15:38:20+01:00Par |Monde|0 commentaire

Fourchette après fourchette

La vie c’est comme de la vaisselle qui s’accumule. Il faut prendre les assiettes sales une par une sans en faire tout un plat jusqu’à ce que l’on y voie un peu plus clair, avant de recommencer, encore et toujours.

Et même si on n’arrive jamais à faire place nette, il ne faut pas se décourager, car nous aurons toujours le mérite et la satisfaction d’avoir un peu allégé la tâche de ceux qui viendront après nous.

Le jour où tout le monde se mettra à faire la vaisselle, sans pester, avec application, peut-être arriverons-nous enfin à faire briller le fond de la cuve.

2017-07-26T15:37:16+01:00Par |Avenir|0 commentaire

A travers les mailles

Les politiciens malhonnêtes, c’est un peu comme les bonnes idées.

Quand enfin tu en attrapes un, dans le même temps des milliers t’échappent.

2017-07-26T15:35:12+01:00Par |Monde|0 commentaire

Faites ce que je dis…

Nous ne pouvons pas raisonnablement condamner la tendance à l’auto-destruction ou le suicide. Il suffit d’ouvrir les yeux pour s’en convaincre.

2017-07-26T15:24:13+01:00Par |Monde|0 commentaire

Rime pauvre

2010 c’était facile.

2011, c’était trouvable.

2012, c’était évident.

2013, il y avait de quoi faire.

Mais 2014. Une année qui ne rime à rien ?

2017-07-26T15:18:03+01:00Par |Avenir|0 commentaire

De la nécessité de

Créer le besoin de l’inutile.

Notre amour de la consommation peut-il être vraiment assouvi ?

Les générations futures nous jugeront sans pitié aucune.

2017-07-25T14:18:10+01:00Par |Monde|0 commentaire

Miam miam

Si le monde nous bouffe

C’est parce qu’il a grand appétit et que nous faisons une nourriture de choix.

Rien d’autre.

2017-07-22T18:14:05+01:00Par |Monde|0 commentaire

Espoir, à voir…

Extrait de « Prométhée », Tome 7 de Christophe Bec et Stéphano Raffaele, Editions Soleil, 2013

 

Et après un petit tour sur Internet, il apparait que cette étude a bien eu lieu et que son résultat ait été répandu, bien que largement contesté par les scientifiques.

Ce qui nous donne quand même un brin d’optimisme pour l’avenir… Enfin, allez savoir, peut-être que l’homme et son gros cerveau ou pour cause de perte de l’instinct sauvage devra atteindre un seuil tellement haut que ça ne va rien changer… à vue humaine…

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