On empile, on amasse, on entasse, on accumule.
Tant de volume
Et si peu d’espace
Pourtant le rêve ne se nourrit que d’imaginaire.
On empile, on amasse, on entasse, on accumule.
Tant de volume
Et si peu d’espace
Pourtant le rêve ne se nourrit que d’imaginaire.
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