Avant qu’il ne soit trop tard
La mort tient toutes ses promesses sans éprouver de peine.
Souvent cruelle, elle nous renvoie à nous-mêmes en nous disant hier tu aurais pu dire je t’aime.
La mort tient toutes ses promesses sans éprouver de peine.
Souvent cruelle, elle nous renvoie à nous-mêmes en nous disant hier tu aurais pu dire je t’aime.
Ne dites pas les sens interdits. Mais dites l’essence n’est pas conseillée.
Les gens qui nous prennent de haut sont souvent coincés du tu.
Même une fois mort, je ne suis pas sûr de vouloir me taire.
Rayon de soleil, tu t’abandonnes à ceux qui prennent le temps de te voir.
Quand je vois, dans la rue, au restaurant, dans le train, le bus ou le métro tous ces gens rivés à leur téléphone, je me dis que l’esclavage, loin d’avoir disparu, a encore de beaux jours devant lui.
Oublier d’où nous venons ne nous aide pas à savoir où nous allons. Et si nous savions où nous allons, il est probable que nous retournerions d’où nous venons.
Je ne m’arrête jamais de penser mais parfois d’écrire, comme je ne m’arrête jamais de rêver mais parfois de dormir.
Je ne suis pas un grand fan de la technologie. Sous couvert de nous libérer elle nous aliène. Ce n’est pas vraiment ce que j’appelle un progrès.
Prendre soin de notre planète est une nécessité. C’est même une urgence. Malheureusement, comme pour toute urgence, il y a de l’attente.